Un film de Roland Joffé sur la figure de josémaria Escriva
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L’Opus Dei se prépare à un nouveau film…

Par JOHN BURGER http://www.ncregister.com/blog/opus...

(il semblerait que l’article ait évolué sur le site où il a été publié. Nous vous joignons la traduction de l’article tel qu’il était lorsque nous l’avons lu)

L’Opus Dei a publié un communiqué de presse il y a quelques jours pour redire ce qu’il a déjà dit en d’autres occasions : le prochain film dirigé par Roland Joffé, don’t le sujet est la vie de saint Josémaria Escriva, n’est pas un projet de l’Opus Dei.

« les quelques membres de l’Opus Dei qui sont impliqués dans le film agissent sous leur propre responsabilité personnelle », dit le communiqué.

Joffé, qui a dirigé auparavant les succès du box office tels que Mission ou La déchirure, a écrit et dirigé There Be Dragons, qui doit sortir à la fin de l’année. Le film est unenhistoire fictive d’un journaliste, qui découvre des choses sur son surprenant père, en faisant des recherches sur la vie du fondateur de l’Opus Dei, Mgr Josémaria Escriva. Charlie Cox joue le rôle d’Escriva.

Le 23 mars, le communiqué de l’Opus Dei dit que sa participation a film s’est limité « à fournir des informations historiques et du matériel audiovisuel sur saint Josémaria ». En cela il n’y a pas de différence avec ce qui a été fait lors de « demandes semblables pour des nouvelles histoires, des livres et des documentaires ».

Ceci étant, très certainement l’Opus Dei n’anticipe pas la sortie du film avec la même angoisse que celle qu’il a connu lors de la sortie du Da Vinci Code, l’adaptation du roman de Dan Brown, qui présentait un « moine de l’Opus Dei », à la foi tueur à gage et masochiste, qui n’hésitait pas à recourir à certaines pratiques d’auto-mortification (en se flagellant lui-même jusqu’au sang). A priori, Ther Be Dragons promet de présenter une image un peu moins risible de l’Opus Dei. Bien que cette organisation souvent mal comprise puisse facilement constituer un bon support pour des thrillers, ceux qui la connaissent savent qu’il n’y a pas de moine dans ses rangs.

Brian Finnerty, le directeur de la communication de l’Opus Dei pour les Etats Unis, est encouragé par l’attitude de Joffé, qui parle avec sympathie de la prélature personnelle dans une interview publiée sur le site officiel du film.

« l’une des chose qui a attiré Roland Joffé dans la figure de Josémaria Escriva est son intérêt à trouver Dieu dans la vie de tous les jours. » m’a dit Finnerty. « cela va au cœur de notre message ».

En février, Finnerty, qui vit à New York, a contacté d’autres portes paroles de différents pays, pour une réunion à Londres sur les différentes façons de capitaliser le film.

« Nous ne savons pas comment le film va tourner, mais nous voulons être prêts pour répondre à l’intérêt que l’on portera sur Josémaria Escriva », dit-il. « nous attendons un intérêt renouvelé. J’espère que beaucoup de gens demanderont : ‘mais qui est Josémaria Escriva ?’ »

Enfin, a-t-il dit, l’Opus Dei est en train de mettre à jour certains de ses sites web, « pour que lorsque les gens chercheront une information sur l’Opus Dei, il y ait une abondance de matériel à leur disposition. Nous allons ajouter des notes biographiques et des vidéos, des clips de saint Josémaria en train de parler de différents sujets.

Il y a une chaine Youtube pour saint Josémaria, ainsi qu’un site web.